légales.
Le "gégène fan" club
se frotte les mains
Pour ceux qui disaient que Canaille le Rouge instruisait des procès d'intention :
"La France a écrit au Conseil de l’Europe pour l’alerter qu’elle risque de déroger à la Convention européenne des Droits de l’Homme"
"Les autorités françaises ont informé le Secrétaire Général du Conseil de l’Europe d’un certain nombre de mesures prises dans le cadre de l’état d’urgence […], mesures qui sont susceptibles de nécessiter une dérogation à certains droits garantis par la Convention européenne des droits de l’homme", peut-on lire sur le site du Conseil. Une procédure nécessaire pour se prémunir d’un éventuel procès auprès de la Cour européenne des Droits de l’homme (CEDH)."
Dans un courrier du 24 novembre la France informe la CEDF que:
"la menace terroriste en France revêt un caractère durable, au vu des indications des services de renseignement et du contexte international (…) De telles mesures (celles de l’état d’urgence ndlr) sont apparues nécessaires pour empêcher la perpétration de nouveaux attentats terroristes. Certaines d’entre elles […] sont susceptibles d’impliquer une dérogation aux obligations" de la CEDH.
Peut-on le dire avec plus de cynisme ? Officiellement la France annonce qu’elle risque d’enfreindre certains Droits de l’Homme avec les mesures récemment votées pour lutter contre le terrorisme, voire même qu’elle l’a déjà fait.
Que vont nous dire maintenant ceux qui nous expliquaient que voter l'état d'urgence était dans la logique de l'histoire du P"c"F ?
La LDH sera-t-elle encore présente (et pas qu'elle) à la fête del'Huma ...ou sera-t-elle en état d'accueillir la doirection du P"c"F ?
Cette question, certes à la marge, mais en prise avec cette réalité potentiellement guantanamesque, ne manquera pas de se poser.